Qui suis-je ?

Bruxellois depuis toujours, je me suis beaucoup baladé dans la ville depuis ma naissance.
J’ai habité la première moitié de ma vie à Molenbeek-Saint-Jean, j’ai fait mes études maternelles, primaires et secondaires à Ganshoren, j’ai commencé les mouvements de jeunesse à 5 ans sous la Basilique de Koekelberg comme nuton, je suis ensuite devenu baladin, louveteau, scout et éclaireur.
J’ai aussi suivi des cours de solfège pendant 5 années à l’académie de Berchem-Sainte-Agathe et des cours de guitare classique pendant 9 ans.

J’ai passé plusieurs années au sein de la section de Ganshoren de la Croix-Rouge de Belgique. J’ai eu la chance d’assister à de nombreux évènements en tant que secouriste.
A 17 ans je me suis lancé dans l’animation en faisant 2 années en tant qu’animateur baladin, j’ai poursuivi en tant qu’animateur pionnier puis routier et enfin j’ai terminé mon parcours comme animateur Guide-Horizon avec un voyage-projet avec Caritas International à Bamako au Mali. 
J’ai eu mon premier travail étudiant à l’âge de 16 ans dans une enseigne de la grande distribution du côté de la station de métro Belgica puis j’ai poursuivi en tant que vendeur dans un magasin de téléphonie mobile place du Miroir à Jette.

En 1999 j’ai entamé mes études d’infirmier à l’ISEI à côté de la Clinique Universitaire Saint-Luc pour les terminer à l‘école Saint-Jean du côté de la station de métro Rogier.
Quelques années plus tard j’ai repris des études afin d’obtenir en 2015 un diplôme de master en santé-publique spécialisé en gestion des institutions de soins (UCL).

J’ai commencé à travailler comme infirmier indépendant à domicile et en cabinets médicaux en 2003  sur les communes d’Auderghem, Bruxelles-Ville, Etterbeek, Evere, Schaerbeek, Uccle, Woluwe-Saint-Lambert et Woluwe-Saint-Pierre, profession que j’exerce toujours.
J’ai créé en 2011 le Hankar Medical Center sur la commune d’Auderghem.
J’ai habité sur les communes d’Ixelles, Woluwe-Saint-Pierre, Auderghem pour finir par m’installer sur Woluwe-Saint-Lambert où j’habite depuis maintenant 11 ans.

En 2018 j’ai commencé à enseigner les soins à domicile aux étudiants du CPSI (Centre de formation pour les secteurs infirmier et de santé) à Woluwe-Saint-Lambert.
En juillet 2022 j’ai commencé à travailler à mi-temps comme infirmier salarié dans une maison de repos située à Wavre et en février 2023 j’y suis devenu adjoint de direction. J’ai découvert une autre partie du milieu de la santé que je connaissais moins bien.

Ma compagne et moi-même sommes les heureux parents (Je suis l’heureux papa) d’une jeune fille de 9 ans.

Qu’est-ce qui m’a amené à la politique ?

Depuis mon adolescence je suis attiré par la politique. J’ai observé pendant de nombreuses années ce qui me semblait être les forces et faiblesses des différents partis politiques afin d’affiner mon engagement.
J’ai préféré attendre d’avoir une certaine expérience de la vie pour m’engager activement en politique.

Après avoir été délégué de classe tout au long de mes études, je me suis engagé comme administrateur dans plusieurs associations de défense de la profession infirmière (FNIB, FIIB, Tabliers Blancs).
Je suis devenu membre de l’OA de l’UGIB (Union Générale des Infirmières de Belgique) et j’ai la chance de siéger à la chambre de 1e instance de l’INAMI afin de représenter les infirmières du secteur des soins à domicile lors des audiences.
J’ai participé en 2020 à la création du syndicat autonome Union4U (qui s’occupe de la défense des praticiens de l’art infirmier, Infirmières et aides-soignantes).

Ces différents engagements m’ont amené à rencontrer à plusieurs reprises des représentants politiques afin de leur expliquer la situation des praticiens de l’art infirmier et les risques encourus par la population vu la diminution de la qualité des soins et de leur accessibilité,
J’ai malheureusement constaté que peu de partis politiques tiennent compte des recommandations des acteurs de terrain. J’ai eu la chance de rencontrer chez DéFI des parlementaires très à l’écoute et impliqués dans la défense des professions de soins et de la qualité des ceux-ci.

Je désire maintenant prendre part aux débats de l’intérieur et essayer modestement d’apporter ma pierre à notre édifice commun.
J’ai conscience que le DéFI est de taille.

J’ai rejoint DéFI parce que je partage ses valeurs de bonne gouvernance, de transparence, de laïcité politique, les droits des minorités et l’égalité des sexes. À mes yeux le discours politique se doit d’être nuancé et non dogmatique, parce que respecter ses engagements est essentiel.